J’ai récemment eu l’opportunité de partager un bout de mon histoire dans le podcast Apprendre ou à laisser. Un échange sincère, sans filtre, où j’ai raconté comment j’ai réussi à me relever après les tempêtes. Dans cet article, je te propose un prolongement de cette conversation, une plongée dans ce qui m’a réellement tenue debout : mes ressources, parfois insoupçonnées. Et si tu veux écouter l’épisode, le lien est juste ici 👇
1. Quand la vie secoue trop fort…
Il y a des moments où tout vacille. Où le corps lâche. Où le mental flanche. Où la solitude se fait plus pesante que jamais. J’ai connu ces moments. Des tempêtes intérieures et extérieures, des fléaux que je n’avais pas choisis.
Et pourtant, je suis toujours là. Pas par miracle. Mais parce que j’ai appris à mobiliser des ressources. À mettre un pied devant l’autre, même quand tout semblait figé.
2. Mes alliés de survie : un masque et une carapace
Parmi ces ressources, deux m’ont accompagnée longtemps : mon masque… et ma carapace.
- Le masque, c’était mon moyen de me protéger du regard des autres. De ne pas exposer ma vulnérabilité. De continuer à avancer, même quand à l’intérieur, tout était chaos. Ce n’était pas de la fuite, c’était de la survie.
- La carapace, elle, me donnait une solidité de façade. Elle me permettait de tenir bon, de ne pas m’effondrer. Elle m’aidait à me reconstruire, pierre après pierre, à l’abri des tempêtes.
Certains pourraient y voir une forme de fermeture. Mais pour moi, c’était une manière de ne pas sombrer. Et surtout, d’avoir le temps de me réparer.
3. De la survie à la confiance retrouvée
Ces deux alliées m’ont permis de continuer d’y croire. De croire que malgré tout, il y avait du bon. Que la vie méritait qu’on s’y accroche. Que la lumière existait, même cachée derrière les nuages.
Aujourd’hui, je les remercie. Car sans elles, je ne serais pas celle que je suis. Elles m’ont offert le temps nécessaire pour me transformer. Et peu à peu, j’ai appris à tomber le masque, à alléger la carapace. Pour laisser place à plus d’authenticité, plus de douceur, plus de vie.
Conclusion
Si tu traverses une période difficile, peut-être que toi aussi, tu portes un masque. Peut-être que tu t’es construit une carapace. Et tu sais quoi ? C’est ok. Chacun avance comme il peut. Le plus important, c’est de trouver ses propres ressources. Celles qui t’aident à tenir, à croire encore, à espérer.
🎧 Et si tu veux plonger dans cette histoire plus en profondeur, je t’invite à écouter l’épisode du podcast Apprendre ou à laisser. Parce que parfois, une voix, une histoire, ça peut tout changer.
Merci pour votre attention et à très bientôt !
Caroline Aubrejac